IPv6 pour les nuls^Wgeeks
Nous voici arrivés à la fin de cette introduction à IPv6. Moyennant un petit temps de prise en main, ce “nouveau” protocole ne devrait pas poser trop de soucis à ceux qui ont déjà quelques notions de réseaux IP. Quelques points à retenir :
- la forme des adresse doit maintenant vous être familière, attention simplement à l’écriture compacte (placement des “::”) et aux préfixes particuliers (2002::, fec0::, fe80:: …) ;
- ICMPv6 joue un grand rôle dans IPv6, le NDP se substituant ainsi pour partie à ARP et DHCP ;
- un routeur sous linux avec un démon radvd suffira à faire profiter de l’IPv6 à votre LAN.
Cet article est j’espère le premier d’une série sur le sujet. Il y a en effet d’autres aspects à aborder ou certains problèmes à évoquer (comme le souci du pMTU par exemple) et un ou deux mythes à casser (non, IPv6 ne ralentit pas votre connexion !). À bientôt !
Quoi ? Pas de commentaire ?
Article génial : Merci à toi LeCoyote ainsi qu’à toute l’équipe de Geekfault !
Continuez les gars ! Et… Joyeux Anniversaire ! 🙂
Bon ok, j’arrive un peu après la guerre …
Mais vraiment, merci beaucoup pour cette article.
Enfin une explication claire sur ce satané IPv6 qui tarde à se dévoiler pour beaucoup de personnes (moi y compris).
Même si je n’ai pas tout compris (vous y allez forts “pour les nuls”), c’est maintenant beaucoup plus clair dans ma ptite tête.
Merci !
Bonjour.
Je tenais a m’exprimer concernant cet article.
Alors merci car je suis chez free et ils proposent l’IpV6 sans aucune explications.
Cet article m’a permis de comprendre, alors encore merci.
Excellent post ! Je cherchais partout l’explication de la création de la partie host dans une adresse de liaison locale !
Chapeau !
Le header passe de 20 octets pour l’IPv4 à 40 voir 60 pour l’IPv6. Donc ça mange un peu de bande passante.
C’est relativement négligeable pour des transferts continus. (Encore que ça represente jusqu’à 2.7% d’overhead: 60-20=40 et 40/1500 = 2.7%)
mais c’est non négligeable pour du transfert de petites données (vecteurs de déplacement pour les jeux par exemple). Sur un paquet de 400 octets de données l’IPv6 représente un overhead de 10%.
Sachant que les jeux vidéos type FPS en ligne ont une répartition majoritaire de paquet entre 50 et 300 octet, on est entre 13 et 80% d’overhead.
Certes il y a un gain de temps de traitement pour les routeurs au niveau de la NAT et de la somme de contrôle, mais les processeurs ont évolués plus vite que la taille des bandes passantes.
Donc non, l’IPv6 n’est pas toujours anodin pour la rapidité des communications.
2^128= 2^16 possibilités entre :xxxx: par ^8
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